le systéme de lubrification nettoyage et remplissage

cher lecteur ;comme en le savoir tous le systéme de lubrification ou bien le systéme de graissage c'est le méme,ce systéme à une trés grand importance dans le group moteur,et a cause de type des matiers composants le group moteur (des matiers solide);les constructeurs
en avoir besion d'introduire le systéme de lubrification pour:
-réduire les frottement.
-protégé les surfaces.
-protégé les pieces contre la corrosion.
-permettre la mise au mouvement des pieces quelque soit la températuredu moteur...
aussi pour réduire les frottement en utilise des matériaux antifriction (les coussenetsles cals ...),ces materiaux ne sont pas réparable(jetable).
le nettoyage du systéme de graissage ou lubrification:
avont le nettoyage il faut faire le vidange d'huile;et pour le faire vous avez besion de mettre un grand tas sous le vis de vidange. la méthode de nettoyer du systéme de lubrification c'est de verser aprés le vidange un demi litre de diesel dans la cartére culasse   
et le attendre jusqu'il s'écoule du cartére inférieur.
le remplissage d'huile dans le systéme de graissage:
avont de verser l'huile dans la cartére il faut virifier le type d'huile que vous avez besoin;aprés il ne vous reste que verser l'huile partie par partie dans la cartére et le virifier avec la jauge pour avoir le niveau maximum.

le systéme de lubrification nettoyage et remplissage

cher lecteur ;comme en le savoir tous le systéme de lubrification ou bien le systéme de graissage c'est le méme,ce systéme à une trés grand importance dans le group moteur,et a cause de type des matiers composants le group moteur (des matiers solide);les constructeurs
en avoir besion d'introduire le systéme de lubrification pour:
-réduire les frottement.
-protégé les surfaces.
-protégé les pieces contre la corrosion.
-permettre la mise au mouvement des pieces quelque soit la températuredu moteur...
aussi pour réduire les frottement en utilise des matériaux antifriction (les coussenetsles cals ...),ces materiaux ne sont pas réparable(jetable).
le nettoyage du systéme de graissage ou lubrification:
avont le nettoyage il faut faire le vidange d'huile;et pour le faire vous avez besion de mettre un grand tas sous le vis de vidange. la méthode de nettoyer du systéme de lubrification c'est de verser aprés le vidange un demi litre de diesel dans la cartére culasse   
et le attendre jusqu'il s'écoule du cartére inférieur.
le remplissage d'huile dans le systéme de graissage:
avont de verser l'huile dans la cartére il faut virifier le type d'huile que vous avez besoin;aprés il ne vous reste que verser l'huile partie par partie dans la cartére et le virifier avec la jauge pour avoir le niveau maximum.

le remplissage de la vase d'expansion

cher automobiliste nhinah avec vous toujours pour vous ronssigner et vous donnée des sollutions sur votre véhicule.
    pour ce article je vous présente comment ajouter l'eau a la vase d'expenssion sont faire risquer le  moteur;et je vous explique les causes d'un  mauvias fonctionnement du systeme de refriodissement.
>premierement:lors d'ajouter l'eau à la vase d'expenssion il faut respecter les notions suivante:
-la vase à des limites (Maximum) et (Minimum) ces deux repaire signifiant que le niveau d'eau ne doit pas les dépasser ni plus ni moins .
-avant d'ouvrir le bouchont ou la soupape de sécurité ;il faut que le moteur est à froid ou bien  servir d'un mouchoir ou un morceau de tissu pour éviter de faire blessé.
et pour ne pas oublier le remplissage de la vase par un eau de robinet est trés risquer pour le moteur;car l'eau du robinet et acompagnier par des matiers chimique comme le calcaire qui est  principalement constituée de carbonate de calcium;ce calcaire se transforme en matier solide sous la température dégagé par le moteur et par une accumulation de cette matier les conduites d'eau se ferme donc le systeme de refroidissement n'est pas en fonction et le moteur ne va pas marché.
je vous consiel cher lecteur d'utilisée l'eau de pluie ou bien de l'antigel.
deusiement l'étape de remplissage ou la méthode de remplissage:
- avant de remplisser la vase il faut purgée le moteur;c'est-à-dire désserrer le vis qui se trouve generalement au bloc-moteur puis enlevé se vis et remlisser la vase pour éliminer l'air et n'oublier pas le niveau Maximum il ne faut pas le dépasser puis aprés avoir élimini l'air render le vis comme il été avont;et enfin il ne vous reste que bien fermer la soupape de la vase.
cher lecteur n'oublier pas de posser vos réclamations questions,et méme vos propositions sur l'Email dans la page de contact ou bien par telephone.

la vase d'expansion


cher automobiliste nhinah avec vous toujours pour vous ronssigner et vous donnée des sollutions sur votre véhicule.
    pour ce article je vous présente comment ajouter l'eau a la vase d'expansion sont faire risquer le  moteur;et je vous explique les causes d'un  mauvias fonctionnement du systeme de refriodissement.
>premierement:lors d'ajouter l'eau à la vase d'expansion il faut respecter les notions suivante:
-la vase à des limites (Maximum) et (Minimum) ces deux repaire signifiant que le niveau d'eau ne doit pas les dépasser ni plus ni moins .
-avant d'ouvrir le bouchont ou la soupape de sécurité ;il faut que le moteur est à froid ou bien  servir d'un mouchoir ou un morceau de tissu pour éviter de faire blessé.
et pour ne pas oublier le remplissage de la vase d'expansion par un eau de robinet est trés risquer pour le moteur;car l'eau du robinet et acompagnier par des matiers chimique comme le calcaire qui est  principalement constituée de carbonate de calcium;ce calcaire se transforme en matier solide sous la température dégagé par le moteur et par une accumulation de cette matier les conduites d'eau se ferme donc le systeme de refroidissement n'est pas en fonction et le moteur ne va pas marché.
je vous consiel cher lecteur d'utilisée l'eau de pluie ou bien de l'antigel.
deusiement l'étape de remplissage ou la méthode de remplissage:
- avant de remplisser de la vase d'expansion il faut purgée le moteur;c'est-à-dire désserrer le vis qui se trouve generalement au bloc-moteur puis enlevé se vis et remlisser la vase d'expansion pour éliminer l'air et n'oublier pas le niveau Maximum il ne faut pas le dépasser;et enfin il ne vous reste que bien fermer la soupape de la vase.
cher lecteyr n'oublier pas de posser vos reclamations questions,et méme vos proposition sur l'Email dans la page de contact ou bien par telephone.

des remarques trés importante pour les automobiliste

cher automobiliste le bien fonctionnement  de votre véhicule ;dépend de votre attention au formation de constucteur; par exemple :ci votre voiture à une distribution par couroie ;le constructeur vous informe de nembre de kilometrage pour changer votre couroie,et les conséquence de ne pas la changer est tés grave;par exemple ci le couroie se couper en march du moteur ce dernier peut avoir les conséquence suivante:
>tortion et fexion du soupapes.
>cassure du bielles.
>déformation du vilebrequin...
 la reparation de ces types de pagne  et tés éleveé.
aussi pour reserver la force du moteur,l'huile à une trés grand importance; elle aussi à un nembre de kilometrage qui ne faut pas le dépasser, et pour une lubrification bien effectuer;il faut virifier le type d'hiule avont l'utilisée.cher lecteur ci vous prenez soin de votre véhicule il résistera trés longtemps et il ne va jamais chez le mecanicien.

CIRCUIT DE REFROIDISSEMENT

Rôle et composition
Tout moteur à combustion en fonctionnement produit de l’énergie qui se répartit de la façon suivante :
- une partie de cette énergie est mécanique et permet l’entraînement du moteur,
- une partie est thermique sous forme de gaz d’échappement qu’on évacue, sous forme de réchauffement
du liquide de refroidissement qu’on utilise partiellement pour le chauffage de l’habitacle. Mais cette
chaleur du liquide doit être éliminée afin d’assurer une température de fonctionnement du moteur
correcte.
Pour y parvenir, on utilise un système de refroidissement par liquide.
Un liquide de refroidissement circule dans (ou autour) des éléments à refroidir. Ce liquide réchauffé au
contact des parties chaudes du moteur est envoyé rapidement grâce à une pompe, dans un radiateur où il se
refroidit et revient dans le moteur.
Le circuit de refroidissement, qui doit être parfaitement étanche pour assurer un parfait fonctionnement, est
donc principalement composé :
- du bloc moteur et de la culasse,
- d’un radiateur et de son ventilateur,
- de capteurs de température (thermostat, thermocontact),
- d’une pompe à eau,
- d’un vase d’expansion,
- de Durit,
- de vis de purge (si le véhicule en est équipé),
- d’un aérotherme,
- d’une quantité de liquide de refroidissement,
- et divers autres éléments suivants les évolutions...
Avec l’apparition des calculateurs moteurs est apparu le système GCTE (Gestion Centralisée de Température
d’Eau). Ce système exploite les informations fournies par un capteur de température unique placé sur le bloc
moteur. Ce capteur par l’intermédiaire du calculateur d’injection permet de faire fonctionner le GMV en
petite ou grande vitesse, ainsi que le voyant d’alerte température d’eau placé sur le tableau de bord. Lors de
la prise en charge d’un véhicule présentant une panne, il convient de déterminer si ce véhicule est équipé ou
non de ce système. Il suffit pour cela de s’assurer de la présence du thermocontact au bas du radiateur. Sa
présence signifie l’absence de GCTE.
Le circuit de refroidissement est équipé d’une soupape qui protège le système de la surpression. La couleur de
cette soupape vous indiquera sa valeur de tarage (en bar) :
Lors du diagnostic sur un véhicule présentant une panne, vous serez amené à mettre le circuit de
refroidissement sous pression. La pression à appliquer est de 0,1 bar en-dessous de la pression de tarage. Si,
avec cette pression, vous n’arrivez toujours pas à détecter de fuite, retirer cette soupape afin de pouvoir
atteindre une pression de 2 bars en montant par paliers successifs.
                   Couleur                                                Valeur de tarage
               de la soupape                                                 (en bar)

                  Blanche                                                          0,8

                  Marron                                                          1,2

                   Bleu                                                              1,6

I:Le circuit de refroidissement
Objectifs du cours
Rendre l’élève capable de :
                                         Ø Citer les éléments constitutifs d’un circuit de refroidissement.
                                         Ø Citer les fonctions des éléments constitutifs d’un circuit de refroidissement.
1. Fonction du circuit de refroidissement
Le fonctionnement du moteur à combustion interne dégage de la chaleur.
Ceci est dû essentiellement à :
                                             - La combustion des gaz dans le cylindre
                                             - Aux frottements mécaniques des pièces
L'élévation de température du moteur a pour effet :
                                             - De dilater les pièces
                                             - De modifier les propriétés des matériaux
                                             - D'altérer le lubrifiant
                                             - De modifier les conditions de carburation
Le circuit de refroidissement a généralement 3 fonctions :
                                             - Evacuer les calories
                                             - Réguler la température de fonctionnement du moteur
                                             - Assurer le chauffage de l'habitacle
Le circuit de refroidissement peut aussi être utilisé pour réchauffer le circuit
de carburant.
2. Répartition des flux énergétiques au sein d'un moteur thermique
Le moteur brûle du carburant dans les cylindres afin de transformer l’énergie
thermique en mouvement. Mais l’énergie thermique provenant du carburant
n’est pas entièrement transformée en puissance, environ 35 % seulement de
l’énergie du carburant est effectivement utilisée, 45 % de cette énergie
environ étant perdue dans les gaz d’échappement ou gaspillée et 21 % est
absorbée par le moteur directement. Les calories absorbées par le moteur
doivent être, d’une manière ou d’une autre, évacuées à l’air libre, sinon, il y
aurait échauffement et risque de grippage du moteur. Un circuit de
refroidissement est donc agencé à l’intérieur du moteur afin d’en assurer le
refroidissement et d’empêcher son échauffement.

3. Les différents circuits de refroidissement

Les moteurs sont en principe refroidis par air ou par liquide. La plupart des
moteurs automobiles sont refroidis par liquide.
                              · Le refroidissement par air
Ce système nécessite des carénages, déflecteurs, volets, etc…
                              · Le refroidissement par eau
Un circuit de refroidissement liquide est plus compliqué, et donc plus
onéreux qu’un circuit de refroidissement à air. Cependant, un circuit de
refroidissement liquide présente de nombreux avantages. Un moteur
ainsi refroidi est plus silencieux, car les chambres de combustion sont
entourées par le liquide de refroidissement (eau plus divers additifs,
par exemple antigel) qui fait office d’écran antibruit.
                            - Par thermosiphon
L'eau s'échauffe au contact des
cylindres puis circule vers le
réservoir supérieur du radiateur.
Cette eau chaude est remplacée par
de l'eau froide de la partie
inférieure du radiateur.
Ce système n'existe plus seul mais
se retrouve dans tous les circuits de
refroidissement actuels.
                             - Par thermosiphon accéléré par pompe
La pompe à eau peut être
fixée sur la culasse ou le bloc
moteur. Elle est située
généralement à la sortie de
l'eau froide
moteur
Flux d'air dû
au
déplacement
du véhicule
4. Les différents éléments
Un circuit de refroidissement liquide se compose de :
- passages d’eau, circuit bloc moteur et culasse
- une pompe à eau
- un thermostat (ou calorstat)
- le vase d'expansion et sa soupape de sécurité
- un radiateur de refroidissement
- un radiateur de chauffage
- un ventilateur de refroidissement
- durites en caoutchouc.
· le thermostat ou calorstat
Le rôle du thermostat est de permettre au liquide de refroidissement
d'atteindre rapidement la température idéale pour le bon
fonctionnement du moteur et de s'y maintenir.
Le thermostat à cire utilise les propriétés de dilatation d'une matière
composée de cire, de pétrole et de poudre de cuivre. Ces matériaux ont
une bonne conductibilité thermique. Cette matière, enfermée dans une
capsule augmente de volume en devenant pâteuse quand la température
augmente. Elle se contracte en se solidifiant.
· le radiateur de refroidissement
Le radiateur refroidit le liquide de refroidissement qui a été chauffé
dans les passages d’eau du bloc moteur. Le radiateur se compose d’une
boîte à eau supérieure, d’une boite à eau inférieure, et entre ces deux
boîtes à eau, d’un faisceau de tubes. Le liquide de refroidissement
arrive dans la boîte à eau supérieure par la durite supérieure, cette
boite à eau supérieure comporte également un bouchon qui permet de
faire l’appoint du liquide de refroidissement. Cette boîte à eau est
également reliée, par une tuyauterie souple, à un vase d’expansion où
le liquide de refroidissement en excédent est récupéré. La boîte à eau
inférieure comporte une sortie et un bouchon de vidange.
Le faisceau de radiateur se compose d’un grand nombre de tubes à
l’intérieur desquels s’écoule le liquide de refroidissement entre la boite
à eau supérieure et la boîte eau inférieure. Entre ces tubes est disposé
un ailetage, les calories sont transmises par le liquide de
refroidissement à cet ailetage, lui-même refroidi par le passage de l’air
que provoque l’action du ventilateur et le déplacement du véhicule.
· le vase d'expansion et sa soupape de sécurité
Le rôle du vase d'expansion (réservoir de trop plein) est de compenser
les variations de volume du liquide de refroidissement et de permettre
la mise sous pression du circuit.
Le vase d’expansion est relié au radiateur par la tuyauterie de tropplein
ou intégré au radiateur ou encore intégré dans le circuit.
la soupape de securite 
la vase d'expention
Le rôle de la soupape de sécurité est de permettre au liquide de
refroidissement d'atteindre une température supérieure à 100°c sans
ébullition.
Le bouchon étanche comporte un clapet de tarage et un clapet de
dépression. A mesure que la température augmente et que le volume du
liquide de refroidissement augmente, il y a également montée de la
pression. Lorsque cette pression dépasse une valeur déterminée (0,8 à
l,4 bars), le clapet de tarage s’ouvre, permettant ainsi à la pression
excédentaire de s’échapper par la tuyauterie de trop-plein.
Après arrêt du moteur, la température du liquide de refroidissement
diminue. Le clapet à dépression s’ouvre alors, permettant l’arrivée
d’air pour éliminer la dépression dans le radiateur. En conséquence, le
liquide de refroidissement présent dans le radiateur est à la pression
atmosphérique lorsque le moteur a entièrement refroidi.

les moteurs thermique

FONCTIONNEMENT GLOBAL D'UN VEHICULE AUTOMOBILE

Introduction
les moteurs themiques sont des moteurs explosif
Les automobiles on un moteur thermique sont constituées de plusieurs centaines de pièces attachées les unes aux autres. Ces liens peuvent être fixes tels les éléments de la carrosserie ou mobiles pour les composants internes du moteur. Bien que l'ensemble de ces divers éléments forme un tout, une automobile, il est tout même possible de les départager en trois grands thèmes : le groupe motopropulseur, le châssis et la carrosserie.
Ce chapitre, divisé en trois sections, présente le rôle et la position des composants principaux de ces trois ensembles.

1.1 GROUPE MOTOPROPULSEUR

Peu importe la catégorie, du véhicule de tourisme à celui de transport en passant par le tout terrain (V.T.T.), ils doivent tous posséder un groupe motopropulseur pour assurer leur déplacement. Disposé de différentes façons, le groupe motopropulseur compte toujours les ensembles suivants: un moteur et un système d'entraînement.
Cette section présente les principaux éléments de chacun ainsi que leur rôle dans le fonctionnement global d'un véhicule.
Les véhicules ont tous un moteur dans la plus part sont des moteurs thermiques, une transmission, un différentiel. A ces ensembles, se greffent différents systèmes essentiels à leur bon fonctionnement.

les Moteurs thermiques:

Les moteurs thermiques transforment l'énergie calorifique renfermée dans le combustible en énergie mécanique. Il est généralement situé à l'avant du véhicule; on retrouve toutefois quelques modèles d'automobiles propulsés par un moteur placé à l'arrière ou au centre. Selon le type de véhicule, des supports souples attachent le moteur à la carrosserie, au châssis ou à un châssis auxiliaire. En plus de leur position dans le véhicule, les moteurs thermiques se distinguent par les différentes configurations qu'ils présentent : en ligne, en V ou à cylindres opposés à plat.

IDENTIFICATION DES VÉHICULES

pour des raisons de securite  d'archivage et plus, l'identification du véhicule et néccessaire pour une facilitée totale  de vente et d'achat et d'autre activité.
L'identification des véhicules est indispensable pour définir avec précision et entièrement un véhicule.
Cette identification permettra :
> la commande de pièces détachées.
> le choix de la documentation.
> le choix des réglages spécifiques.
> la reconnaissance du véhicule par les forces de l'ordre.
Les véhicules automobiles sont identifiées de très nombreuses manières. Il est nécessaire de consulter une
documentation (ex: RTA) pour connaître la nature et les emplacements de ces renseignements. Certaines
indications sont obligatoires, d'autres facultatives.
- Plaque du constructeur
- Plaques moteur et boîte de vitesse
- Numéro de série du châssis
- Référence de la peinture
- Année modèle...


Ces différentes caractéristiques sont inscrites de différentes manières:
- Frappé sur plaque ou sur élément à identifier(avec pointage).
- Marqué au pochoir ou au tampon encreur.
-Un papier en plastique coller sur des surface froid.

-Des logo souder...
Certaines indications se retrouvent sur un document officiel : la CARTE GRISE
Certaines indications portées sur le véhicule (carrosserie, baguettes, etc...) constituent une identification
commerciale : elles sont indicatives, non officielles et très variables.
touis les constructeurs utilisant l'identification pour eux memeet pour le consommateur.

reparation du moteur thermique partie 2

B.     COMMANDE PAR CHAINE

 Pour réduire le bruit du couple de pignons, une chaîne courte à rouleaux relie le pignon du vilebrequin de celui d’arbre à cames (moteur à arbre à cames latéral et soupapes en latéral).
 Si l’arbre à cames est rapproche du plan de joint bloc-cylindres/culasse (moteur à arbre à cames latéral et soupapes en tête), on utilise une chaîne à rouleaux longue. Pour éviter les battements de cette chaîne, on règle sa tension par un tendeur. Le contact du patin du tendeur, qui exerce un appui progressif, est automatiquement assuré par l’action combinée d’un ressort et de la pression d’huile variable avec le régime du moteur.
 Une longue chaîne double à rouleaux relie directement le vilebrequin à l’arbre à cames situé en tête (moteur à arbre à cames en tête et soupapes en tête). Le tendeur présente un long patin caoutchouté en vue de supprimer les bruits et les battements et d’assurer le guidage. Cette chaîne nécessite un graissage abondant.


Fig. 14 Transmission par chaîne entre le vilebrequin et l’arbre à cames latéral

Fig. 15 Transmission par chaîne entre le vilebrequin et l’arbre à cames en tête

B.     COMMANDE PAR COURROIE CRANTEE

 Les moteurs à arbre à cames en tête et soupapes en tête comportent une transmission primaire par courroie crantée fonctionnant à sec. Cette commande silencieuse est assurée par une courroie en caoutchouc, très souple, très légère et plus économique. Un seul tendeur réglable ou auto-réglable suffit car la courroie crantée accepte de serpenter à condition que ses déformations correspondent aux possibilités de sa section. .




Exercice : Localisation des composants
Durée : 1 heure 30 minutes
But : Reconnaître et localiser les différents types de commande de l’arbre à cames.
Matériel requis : Moteurs différents
Marche à suivre : Inspectez les moteurs, localisez les composants demandés puis complétez le tableau ci-dessous.

Moteur type

Soupapes en tête

Arbre à cames en latéral

Arbre à cames en tête

Double arbre à cames en tête

Commande par pignons


Nombre de pignons

Repère du pignon du vilebrequin

Repères du pignon intermédiaire

Repère du pignon de l’arbre à cames

Commande par chaîne
Chaîne simple

Tendeur à patin

Chaîne double

Tendeur à patin de guidage

Repère du pignon du vilebrequin

Repère du pignon de l’arbre à cames

Commande par courroie crantée
Tendeur réglable

Tendeur auto réglable

Repère de la poulie du vilebrequin

Repère de la poulie de l’arbre à cames





Fig. 18  Commande des soupapes à poussoir à plateau

3.4.  COMMANDE DES SOUPAPES

 La commande des soupapes est réalisée par l’intermédiaire des éléments mécaniques placés différemment afin de supporter l’augmentation des régimes moteurs.

A.     MOTEUR A ARBRE A CAMES LATERAL ET SOUPAPES EN LATERAL

 Cette première disposition a l’avantage de la simplicité. Un poussoir à plateau, réglable, coulisse dans le bloc-cylindres et transmet le mouvement vers la soupape.

B.     MOTEUR A ARBRE A CAMES
LATERAL ET SOUPAPES EN TETE

 Le remplacement de la culasse à soupapes en latéral par la culasse à soupapes en tête constitue une étape importante dans l’évolution du moteur. La suppression de la chapelle à soupapes permet de réduire le volume de chambre de combustion, d’accroître le taux de compression et de tirer des puissances de plus en plus importantes.
  La tige de culbuteur reçoit la poussée du

Poussoir et communique ce mouvement au culbuteur. Renversant de 180° la direction de l’effort, le culbuteur actionne la soupape. Les culbuteurs peuvent être placés en rampe unique ou en double rampe.

B.  MOTEUR A ARBRE A CAMES LATERAL ET SOUPAPES EN TETE

 Le remplacement de la culasse à soupapes en latéral par la culasse à soupapes en tête constitue une étape importante dans l’évolution du moteur. La suppression de la chapelle à soupapes permet de réduire le volume de chambre de combustion, d’accroître le taux de compression et de tirer des puissances de plus en plus importantes.
  La tige de culbuteur reçoit la poussée du poussoir et communique ce mouvement au culbuteur. Renversant de 180° la direction de l’effort, le culbuteur actionne la soupape.
 Les culbuteurs peuvent être en rampe unique ou en double rampe.


Les moteurs des années 70 comportent une distribution convenant à l’alimentation par carburateur. Un seul arbre à cames commande des soupapes placées en ligne. Les soupapes sont commandées soit par l’intermédiaire des linguets appuyés sur des plots réglables, soit par l’intermédiaire des poussoirs cylindriques présentant une pastille (cales) amovible d’épaisseur variable.



Fig. 23 Soupapes en V commandées par culbuteurs en rampe unique




Fig. 24 Soupapes en V commandées par culbuteurs en double rampe
 Les moteurs des années 80 comportent des soupapes disposées en V pour améliorer le remplissage et le rendement. Un seul arbre à cames commande les soupapes par l’intermédiaire des culbuteurs. Les culbuteurs peuvent être disposés sur une seule rampe ou en rampe double.
 Les moteurs des années 90 comportent une distribution convenant à l’alimentation par injection d’essence. Deux arbres à cames actionnent les 4 soupapes par cylindre. L’écartement des soupapes en V permet de loger la bougie au centre  d’une chambre dessinée pour obtenir une haute turbulence, source d’économie de carburant par amélioration de la combustion. Des poussoirs hydrauliques, situés juste en queue des soupapes, assurent un fonctionnement silencieux dont la longévité permet d’espacer les contrôles et les réglages périodiques.
















1.      Huile sous pression
2.      Palier d’arbre à cames
3.      Came
4.      culasse
5.      Poussoir hydraulique
6.      ressort de soupape
7.      Guide de soupape
8.      Soupape
9.      Huile sous pression
10.  Partie coulissante
11.  Queue de soupape
Fig. 25 Soupapes en V commandées par poussoirs hydrauliques

Exercice : Localisation des composants

Durée : 1 heure 30 minutes

But : Reconnaître et localiser les différents types de commande de soupapes.

Matériel requis : Moteurs différents

Marche à suivre : Inspectez les moteurs, localisez les composants demandés puis complétez le tableau ci-dessous.



Moteur type

Soupapes disposées en ligne

Soupapes disposées en V

Arbre à cames latéral   
Poussoirs

Tiges

Culbuteurs en rampe unique

Culbuteurs en double rampe

Arbre à cames en tête
Linguets

Poussoirs à pastille de réglage

Culbuteurs en rampe unique

Culbuteurs en double rampe

Double arbre à cames en tête
Poussoirs à pastille de réglage

Culbuteurs

Poussoirs hydrauliques


Chapitre IV

FONCTIONNEMENT DES SYSTEMES DE GRAISSAGE ET DE REFROIDISSEMENT

4.1.  NECESSITE ET FONCTIONNEMENT DU SYSTEME DE REFROIDISSEMENT

 L’étude du cycle à quatre temps du moteur à piston alternatif montre que, durant la combustion, les organes du moteur s’échauffent fortement, particulièrement le piston, le cylindre et la culasse. Cet échauffement a les conséquences suivantes :
-         la dilatation des pièces, et par suite une diminution des jeux de montage ;
-         la modification des propriétés des matériaux selon la température atteinte et la durée de l’échauffement ;
-         l’altération du lubrifiant ;
-         la diminution du taux de remplissage des cylindres par suite de la dilatation des gaz frais ;
-         des risques accrus d’auto-allumage
Afin de limiter l’échauffement, les moteurs sont équipés d’un système de refroidissement qui conduit la chaleur entre le moteur et l’air atmosphérique. Les cylindres et la culasse sont pourvus d’une double paroi. L’espace entre les parois est rempli d’un liquide de refroidissement
 Le système de refroidissement du  moteur à essence ou diesel a pour buts :
-         Mettre en température de fonctionnement le moteur aussi rapide que possible après sa mise en marche.
-         Maintenir constante la température de fonctionnement du moteur.
 Le système de refroidissement le plus couramment utilisé est de type «a circulation forcée du liquide ».


Fig. 26  Composants du système de refroidissement

1. Radiateur – 3. Pompe à eau – 4. Thermostat – 5. Chambres à eau du bloc cylindres et de la culasse – 7. Jauge à niveau de liquide - 8. Vase d’expansion – 10,11. Sondes de température – 13. Radiateur de chauffage. 

 La pompe à eau refoule le liquide vers les chambres à eau du bloc-cylindres et de la culasse.  La circulation se fait en entrant par la partie inférieure du bloc-cylindres et en sortant par la partie supérieure de la culasse. Ainsi, le liquide s’échauffe au contact des parois du moteur et sorte vers le thermostat.
 Si la température du liquide est inférieure à 80° C, le thermostat dirige le liquide vers la pompe à eau (canal by-pass). Ainsi, il s’établit un circuit dans le moteur qui active le réchauffement rapide et simultané de tout le moteur.
 Si la température du liquide est supérieure à 80° C, le thermostat dirige le liquide vers le radiateur. Aspiré par la pompe à eau, le liquide traverse le radiateur et se refroidi au contact du courant d’air établit par le ventilateur. Ainsi, la différence de température entre l’entrée et la sortie du liquide du moteur n’est que de 5 à 7° C (température normale, environ 90° C).
 Un vase d’expansion maintient constant le niveau de liquide et permet de dégazer le système.
 Des dispositifs de contrôle permettent de vérifier en permanence : le niveau de liquide (jauge de niveau), la température du liquide (sondes de température).
Exercice : Localisation des composants

Durée : 1 heure 30 minutes

But : Reconnaître et localiser les différents composants du système de refroidissement.
Matériel requis : Moteurs différents

Marche à suivre : Inspectez les moteurs, localisez les composants demandés puis complétez le tableau ci-dessous.

Moteur type

Chambres à eau du bloc-cylindres

Chambres à eau de la culasse

Thermostat

Canal by-pass vers la pompe à eau

Durites vers le radiateur

Radiateur

Durites vers la pompe eau

Pompe à eau


4.2.  NECESSITE ET FONCTIONNEMENT DU SYSTEME DE GRAISSAGE

 L’étude du cycle à quatre temps du moteur à piston alternatif montre que les différents organes glissent l’un sur l’autre : le piston et le cylindre, etc. Afin d’éviter le frottement à sec, l’échauffement considérable et la forte usure qui s’ensuivent, les moteurs sont équipés d’un système de graissage qui amène une couche de lubrifiant entre les organes en mouvement. La couche de lubrifiant qui adhère au métal d’un organe se déplace par glissement sur la couche de lubrifiant qui recouvre l’autre organe. Le frottement n’a donc lieu qu’a l’intérieur du lubrifiant : c’est le frottement fluide.
Le système de graissage du moteur à essence ou diesel a pour buts :
-         Réduire les frottements et éviter l’usure des organes en contact :
-         Participer à l’équilibre thermique du moteur :
-     Améliorer l’étanchéité piston
-         Nettoyer et évacuer les résidus de combustion et les impuretés ;
-         Atténuer le bruit des organes en contact.
 Le système de graissage le plus couramment utilisé est de type «a circulation d’huile sous pression ».


Fig. 27  Composants du système de graissage
1. Carter inférieur – 2. Crépine d’aspiration – 3. Pompe à huile – 4. Filtre à huile – 5. Manomètre de pression – 6. Thermomètre – 7, 8. Canalisations vers les paliers du vilebrequin – 9. Arrosage des pistons – 10. Graissage des paliers du turbocompresseur – 11. Canalisations vers l’arbre à cames et la commande des soupapes.

 Le carter inférieur constitue la réserve d’huile. Une pompe aspire l’huile de carter à travers une crépine. L’huile est refoulée, à une pression dont la valeur maximale (4 à 5 bars) est contrôlée par une soupape de décharge incorporée à la pompe, à travers le filtre à huile vers la rampe principale.
 D’ici l’huile est distribuée :
-         Aux canalisations alimentant les paliers et les manetons du vilebrequin.
-         Aux canalisations alimentant les paliers de l’arbre à cames et la commande des soupapes.
-         A la canalisation alimentant le tendeur de la chaîne de distribution.
-         A la canalisation alimentant les paliers du turbocompresseur.
-         A la canalisation alimentant les gicleurs de refroidissement (arrosage) de fonds de pistons.
 L’huile retombe ensuite par gravité dans le carter inférieur par de retours prévus à cet effet.
 Des dispositifs de contrôle permettent de vérifier : le niveau d’huile (jauge de niveau), pression d’huile (manomètre, au niveau de la rampe principale), température d’huile (thermomètre).

Exercice : Localisation des composants

Durée : 1 heure 30 minutes

But : Reconnaître et localiser les différents composants du système de graissage.

Matériel requis : Moteurs différents

Marche à suivre : Inspectez les moteurs, localisez les composants demandés puis complétez le tableau ci-dessous.

Moteur type

Pompe à huile

Filtre à huile

Rampe principale

Canalisations vers les paliers du vilebrequin

Canalisations vers l’arbre à cames et les soupapes

Canalisations vers le tendeur de la chaîne

Carter inférieur

Dispositifs de contrôle
Jauge de niveau

Manomètre

Thermomètre



Exercice d’évaluation

Durée : 1 heure 30 minutes

Questions :

Barème / 20

1. Tracez le diagramme de distribution d’un moteur ayant AOA = 10°, RFA = 40°, AOE = 35°, RFE= 8°, AA = 6° et calculez la durée de l’admission et de l’échappement.

2. Dessinez le schéma d’une commande de l’arbre à cames utilisant un trio de pignons ?

3. Quel est l’avantage de la commande de l’arbre à cames par chaîne par rapport à celle à pignons ? Précisez aussi les types de chaîne utilisés.

4. Quels sont les avantages de la commande de l’arbre à cames par courroie crantée par rapport à celle à chaîne ?

5. Quelles sont les composants de la commande des soupapes d’un moteur à arbre à cames latéral et soupapes en tête ?

6. Quelle est le composant qui assure la commande des soupapes disposées en ligne / en V pour un moteur à arbre à cames en tête ?

7. Quelles sont la nécessité et les buts du système de refroidissement?

8. Quelles sont la nécessite et les buts du système de graissage ?



   …/ 04 pts


   …/ 02 pts


   …/ 02 pts


   …/ 02 pts


   …/ 02 pts


   …/ 02 pts

   …/ 03 pts

   …/ 03 pts


Chapitre V

CONTROLE DE L’ETANCHEITE DE LA CHAMBRE DE COMBUSTION

5.1.    ETANCHEITE DE LA CHAMBRE DE COMBUSTION


Fig. 28 Etanchéité de la chambre de combustion

 Pour un moteur donné, la force qui agit sur le piston, et par la suite le couple moteur et la puissance du moteur, est en fonction de la pression qu’atteint les gaz du fait de la combustion.
 La combustion elle-même, est en fonction de la pression de compression. La température du mélange combustible et son homogénéité, pour le moteur à essence, ou la température de l’air, pour le moteur diesel, sont influées par la pression de compression.
 La pression de compression et la force qui agit sur le piston dépendent de l’absence des fuites de pression, c’est-à-dire, de l’étanchéité de la chambre de compression.
 Les fuites de pression, en fin de compression, peuvent se manifester :
-         au niveau des segments, entre le piston et le cylindre ;
-         au niveau des soupapes, entre la soupape et son siège.
 Le contrôle de la pression en fin de compression donne un aperçu concernant l’étanchéité de la chambre de combustion.

5.2.  COMPRESSIOMETRE

 Le compressiomètre, généralement équipé d’un enregistreur, est un appareil qui mesure la pression dans la chambre de combustion en fin de compression. La valeur est donnée en bar.
 Le compressiomètre enregistreur est disponible en deux versions : version moteurs à essence et version moteurs diesel.
 Un raccord rapide pour moteurs à essence permet le branchement du compressiomètre sur le trou de la bougie.
 Un raccord rapide pour moteur diesel permet le branchement du compressiomètre sur le faux injecteur.
 En agissant sur le bouton demarreur, après avoir branché la pince rouge sur la borne positive de la batterie et la pince bleue sur le contact 50 du demarreur, le dispositif incorporé  commande la rotation du moteur.
 Par l’intermédiaire du raccord rapide, un cylindre incorporé reçoit la pression d’air de fin de compression. Le système piston et tige à ressort du cylindre convertit la pression en déplacement d’une aiguille. Ce déplacement enregistre l’essai sur un diagramme gradué en bars. Le diagramme, positionné sur une porte-diagramme, permet la lecture comparative de 8 essais. 


Fig. 29 Compressiomètre enregistreur

5.3.  CONTROLE DES PRESSIONS

 Le contrôle des pressions consiste à effectuer les mesures comparatives entre les différents cylindres du moteur afin d’établir un diagnostic.
 L’étanchéité des chambres de combustion est normale si les valeurs des pressions sont au dessus d’un minimum admis et la différence entre chaque cylindre ne dépasse pas 1.5 bars pour un moteur à essence et 3 bars pour un moteur diesel.


Rapport volumétrique


Valeurs de pressions

Moteur à essence 7.5 à 8.3
                             9.0 à 9.4
                                 10
                                 10,5
Moteur diesel     21.5 à 22

10    à   9    bars, min.   7.5   bars
12       à 10    bars, min.   8.5   bars
15,5 à 13,5 bars, min. 12    bars
16    à 14    bars, min. 12,5 bars
30    à 24    bars, min. 18   bars

 Si toutes les valeurs des pressions sont au-dessous d’un minimum admis, on est en présence d’une usure uniforme du moteur.
 Le défaut peut être détecté par l’injection d’un peu d’huile à moteur dans la chambre de combustion du cylindre à contrôler. Si la valeur de la pression augmente, on est en présence d’une usure de la paroi du cylindre ou des segments de piston. Dans le cas contraire, le défaut peut provenir de soupapes, de sièges de soupapes ou de joint de culasse défectueux.
 Si deux cylindres côte à côte indiquent une même valeur, pourtant inférieure de beaucoup à celle des autres cylindres, le défaut peut provenir d’un joint de culasse non étanche entre les deux cylindres ou d’une culasse fissurée.



















Module : 07.
ETUDE DES MOTEURS THERMIQUES
GUIDE DES TRAVAUX PRATIQUES





              I.      TP. 1 : DIAGNOSTIC DE L ETAT DU MOTEUR

I.1. Objectifs visés :

-          Utiliser correctement le compressiomètre.
-          Détecter et interpréter les anomalies de fonctionnement.

I.2. Durée du TP:

6 heures

 

I.3. Matériel par équipe :

a)     Equipement :
-          Moteur à essence en état de marche.
-          Moteur diesel en état de marche.
-          Compressiomètre enregistreur version moteurs à essence.
-          Compressiomètre enregistreur version moteurs diesel.
b)     Matière d’œuvre :
-          Essence
-          Gasoil
-          Chiffon
-          Huile

I.4. Description du TP :


  Dans une première étape, les stagiaires doivent préparer le moteur pour la mesure des compressions.
 Dans une seconde étape, les stagiaires doivent mesurer les compressions des cylindres du moteur et inscrire les valeurs dans une fiche.
 Dans une troisième étape, les stagiaires doivent effectuer le diagnostic de l’état du moteur.
  

I.5. Déroulement du TP


5.1. Préparation du moteur.
Contrôler les jeux des soupapes et régler si nécessaire.
Mettre le moteur en marche et le faire tourner jusqu’à sa température de fonctionnement.
Pour le moteur à essence, déposer toutes les bougies et mettre le papillon du carburateur en pleine ouverture.
Pour le moteur diesel, déposer tous les injecteurs, monter les faux injecteurs et mettre la pompe d’injection en position «stop».

5.2. Mesure des compressions :
Brancher les pinces conformément à la notice d’emploi du compressiomètre.
Placer sur le porte-diagramme une nouvelle fiche-diagramme et introduire entièrement le porte-diagramme dans le compressiomètre. L’aiguille sera ainsi correctement positionnée pour l’enregistrement au même niveau de l’inscription «cylindre 1 ».
Presser fortement le raccord rapide du compressiomètre contre l’orifice de bougie ou contre le faux injecteur.
Actionner le demarreur par le bouton du compressiomètre jusqu'à la stabilisation complète de l’aiguille.
Décharger la pression en agissant sur le curseur de décharge et débrancher le raccord rapide.
Faire avancer la fiche-diagramme d’un pas en agissant sur le bouton prévu à cet effet.
 Faire l’essai de compression du deuxième cylindre et procéder de la même façon jusqu'à dernier cylindre.
Comparer les valeurs des compressions à la valeur donnée par le constructeur.
Si une ou plusieures valeurs sont faibles, verser un peu d’huile dans le trou de la bougie ou dans le trou de l’injecteur de cylindres concernés.
Changer la fiche- diagramme.
Refaire l’essai de compression pour les cylindres concernés.

5.3. Diagnostic de l’état du moteur :
Inscrire les valeurs des compressions dans la fiche ci-dessous.
Comparer les valeurs des deux essais et établir l’origine du défaut.

Type de moteur………………………………………………………………
Jeux des soupapes : A……………………….E………………………………
Valeur de compression donnée par le constructeur :…………………………


Essai no. 1

Essai no. 2
           Origine du défaut
Cylindre 1



Cylindre 2



Cylindre 3



Cylindre 4



Cylindre 5



Cylindre 6



















Evaluation de fin de module                                                            Durée : 3 heures

Observations et jugements

Barème / 40
1.       Explication correcte du diagramme du cycle moteur à quatre  temps
1.1.    Définir le cycle moteur à quatre temps
1.1.1. Tracer le diagramme du cycle à quatre temps.
1.1.2. Expliquer la signification de la pression moyenne indiquée, du couple moteur et de la puissance.

1.2.    Expliquer le fonctionnement du moteur thermique.
1.2.1. Comment au niveau du cycle moteur améliore-t-on le remplissage du cylindre et de ce fait le travail mécanique ? 
1.2.2. Quelle est la raison du fait que le rapport volumétrique d’un moteur à essence a des valeurs limitées de 6 : 1 à 10 : 1 ?

2.       Distinction correcte entre les moteurs à essence et diesel
2.1.    Comparer les moteurs à essence et diesel.
2.2.1. Quelle est la différence entre le moteur à essence et le moteur diesel selon la formation du mélange ?
2.2.2. Quelle est la différence entre le moteur à essence et le moteur diesel selon le mode d’allumage ?

2.2.    Expliquer les avantages et les inconvénients du moteur diesel.
2.2.1. Expliquer deux avantages du moteur diesel en utilisant les paramètres : rendement thermique et couple moteur.
2.2.2. Expliquer deux inconvénients du moteur diesel en utilisant les paramètres : prix et masse.

3.       Explication et dessin corrects du diagramme de distribution.
3.1.    Dessiner le diagramme de distribution
          Tracer le diagramme de distribution pour un moteur ayant : AOA = 17°, RFA = 37°, AOE = 59°, RFE = 15° et AA = 10°.
         Calculer la durée de l’admission et de l’échappement.

4.       Enumération exacte des différents types de distribution.
4.1.    Distinguer les différents types de distribution.
4.1.1. Comment le tendeur d’une commande de l’arbre à cames par chaîne réalise-t-il son appui progressif ?
4.1.2. Quelle est la commande de soupapes convenant aux moteurs à alimentation par injection d’essence ?



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5.       Explication juste des systèmes de refroidissement et de graissage.
5.1.    Décrire le fonctionnement des systèmes de refroidissement et de graissage.
5.1.1. Expliquer le principe du fonctionnement du système de refroidissement.
5.1.2. Expliquer le principe du fonctionnement du système de graissage.

6.       Détection et interprétation juste des anomalies de fonctionnement.
6.1.    Effectuer le diagnostic de l’état du moteur.
6.1.1. Mesurer les compressions du moteur.
6.1.2. Diagnostiquer l’état du moteur.




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Liste des références bibliographiques.

Ouvrage
 Auteur
Edition
L’automobile, la technique automobile de l’apprentissage à la maîtrise
Antoine Martin
Livre Total Lausanne, 1993
Moteurs à essence, tome 1 et tome 2
Bernard Derreumaux
E.T.A.I. 1991
Les moteurs diesel, technologie professionnelle générale
B. Vieux
Foucher, 1993
Le véhicule automobile
Jean Reynaud et Christian Babillon
Delta Press, 2002









































































NB : Outre les ouvrages, la liste peut comporter toutes autres ressources jugées utiles (Sites Internet, Catalogues constructeurs, Cassettes, CD,…)